Selon l’Insee, le secteur marchand privé (hors agricole) est à l’origine de 49 400 nouveaux emplois entre janvier et fin mars. Il s’agit d’une progression de 0,3%, qui est largement portée par les secteurs des services et de l’emploi intérimaire, indique l’institut des statistiques. Hors intérim, les services sont en effet à l’origine de la création de 44 200 postes (+0,4%), contre 12 000 postes pour l’intérim (+1,8%).
En revanche, le tableau est plus sombre pour l’industrie, qui a détruit sur la même période 4 800 postes, ainsi que pour le secteur de la construction (2 000 postes supprimés). Sur les douze derniers mois, le secteur marchand a néanmoins le vent en poupe, avec 193 300 créations nettes de postes, un chiffre en hausse de 1,2%. Ce secteur représentait fin mars 16,23 millions d’emplois : du jamais vu depuis la crise financière de 2008. Et de bon augure politiquement parlant pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
Les tendances pour le reste de l’année sont bien orientés elles aussi, avec une prévision de créations nettes de 147 500 postes dans le tertiaire. Cela représente une hausse de 1,3% par rapport à l’an dernier. L’emploi intérimaire est en grande forme avec 83 200 postes, soit une croissance de 14,2%. Pour l’industrie et la construction par contre, il faut s’attendre à des destructions d’emplois : 23 300 pour le premier, 9 100 pour le second.
En revanche, le tableau est plus sombre pour l’industrie, qui a détruit sur la même période 4 800 postes, ainsi que pour le secteur de la construction (2 000 postes supprimés). Sur les douze derniers mois, le secteur marchand a néanmoins le vent en poupe, avec 193 300 créations nettes de postes, un chiffre en hausse de 1,2%. Ce secteur représentait fin mars 16,23 millions d’emplois : du jamais vu depuis la crise financière de 2008. Et de bon augure politiquement parlant pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
Les tendances pour le reste de l’année sont bien orientés elles aussi, avec une prévision de créations nettes de 147 500 postes dans le tertiaire. Cela représente une hausse de 1,3% par rapport à l’an dernier. L’emploi intérimaire est en grande forme avec 83 200 postes, soit une croissance de 14,2%. Pour l’industrie et la construction par contre, il faut s’attendre à des destructions d’emplois : 23 300 pour le premier, 9 100 pour le second.